A propos des infrastructures, le président à évoqué les routes, la piste et le port. Il le sait, tout le monde l’attend sur le rallongement de la piste d’aéroport. “Quand je suis parti de Paris, on m’a dit, il n’y en a pas besoin, c’est très cher, et d’ailleurs, ça fait 20 ans qu’on le promet et qu’on le fait pas”, rajoutant, en se tournant en souriant vers le député LR Mansour Kamardine, “pas vrai ?!”. Le président expliquait ensuite qu’après avoir atterri à Mayotte, “j’ai compris que la piste était courte donc oui, on le fera !”
A très court terme, la démarche sera de travailler sur les prix et faire venir la concurrence.
Et dans un deuxième temps, le président le sait, la population ne veut pas entendre parler d’études. “Pas d’études d’impact”, donc, “mais il faut quand même savoir comment on fait pour lancer les travaux de façon opérationnelle (…) surtout au regard du risque sismique et de l’effondrement.” Un chantier de prés de 200 millions d’euros, précisait-il.
“Merci!” a-t-on entendu alors que des dizaines de drapeaux étaient agités.
A.P-L.